i love you once, i love you twice

I got a pocket, got a pocket full of sunshine, I got a love that knows that it's all mine, oh.oh,oh. Voilà la chanson qui me révéilla ce beau matin, bien ensoleillé de mars. J'ouvris un oeil, puis l'autre, cette musique me rendais heureuse, tout simplement parce qu'elle me rappelait l'été et surtout, la chanson que je chantais quand j'étais encore à Paris avec ma soeur et mes parents. Oui, c'était la belle école, hormis la rupture avec Lukas, c'était la belle époque, quand nous étions jeunes, insouciants et qu'on dépendait encore de nos parents. Je m'étirais de mon long, profitant de la grasse matinée que j'avais fait, et oui, je ne travaillais pas aujourd'hui, j'avais prit mon jour de repos et j'avais bien l'intention d'en profiter. Puis je décidai de me lever et allai dans ma cuisine, dansantet chantant sur la musique qui m'avais réveillée I got a pocket, got a pocket full of sunshine, I got a love that knows that it's all mine, oh.oh,oh. J'étais heureuse à Monaco et ce depuis 3 ans, j'avais put tourner, enfin la page et étais comblée par mon boulot et mes amis, sans oublier ma famille que j'appelais tout les ans pour les anniversaires et Noël. J'avais parfois quelques regrets, comme ma soeur, que j'aurais voulu voir plus souvent, mais nous étions adultes et travaillons, n'habitions pas au même endroit et donc nous voyons jamais. mMais en quittant Paris, j'avais aussi laissé Lukas et c'était la meilleure chose à faire, je l'avais fait souffrir, l'avais brisé et pour oublier ça, j'étais venue ici. Alors que je déjeunais tranquillement, regardant dehors, le soleil brillait, des petits oiseaux chantaient, tout ça me mettait de bonne humeur, puis on vint sonner à ma porte, je fus prise de panique et fonçai vers la salle de bain dans laquelle, je me coiffai puis revins vers l'entrée et ouvris la porte, à ce moment là, je restai bouche bée, regardant la personne qu'il y avait en face de moi. Les souvenirs remontèrent directement à la surface, nos délires, notre amitié, notre complicité, nos engueulades, des papillons se formèrent dans mon ventre, voilà que ma journée s'illuminai encore plus, j'avais devant moi ma grande soeur, mon modèle. Ninaaaa ! criais-je en lui sautant dans les bras, puis m'écartai légèrement Mais qu'est-ce que tu fais ici ?

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