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 If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ]

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Quinn-Elisa A. Rockwell
Quinn-Elisa A. Rockwell
If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ] Tumblr_m0uhfxTi2z1r40f86o1_500
À la Fac de médecine, on a plus d’une centaine d’heures sur comment lutter contre la mort. Mais pas une seule sur comment vivre avec...
j'ai posté : 58
age : 23 ans
métier : Chirurgienne
envie : sauver des vies
célébrité : Lucy Hale



If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ] _
MessageSujet: If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ]   If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ] EmptyLun 4 Mar - 20:58


Toblias Ҩ Quinn-Elisa




Ҩ « Je ne permettrai pas que des éléments concernant l'âge, la maladie, le handicap, la religion, l'origine ethnique, le sexe, la race, les opinions politiques, la nationalité, l'orientation sexuelle, le statut social ou tout autre facteur intervienne entre mon devoir et mon patient. »


La sirène de l'ambulance se fit retentir, signe qu'on avait besoin de toute urgence de monde dehors. Evidemment, les meilleurs titulaires avaient déjà été prévenus et attendaient dehors.
-Rockwell, donne les dossiers post op à Hutson et ramène toi dehors, on a besoin de tout le monde possible !
Je fis ce que me demandais notre chef des résidents sans poser de question, trop heureuse d'avoir une intervention, bien que je me demandais tout de même de quoi il s'agissait au juste pour qu'ils aient besoin de beaucoup de monde. Ce fut donc avec joie que je donnais mes dossiers à mon collègue, en espérant qu'il ne faudrait pas repasser derrière lui. Et oui, c'est comme ça, tout le monde n'a pas l'étoffe pour être chirurgien, et Hutson est le type même du gars n'ayant pas les qualifications nécessaires. J'attrapais une blouse plastifiée en vitesse et sortis, laissant un autre de mes confrère m'aider pour la fermer. Bah oui, ce n'est pas pratique ce système d'attache par derrière. L'ambulance arriva, et on se précipita sur la porte.
-Tobias Webb, 25 ans, plaie au thorax due à un couteau et à la tête ainsi que de nombreuses contusions sur les bras, résuma précipitamment l'ambulancier. Ses constantes sont stables.
Oh non. Non non non je ne pouvais pas m'occuper de ce type. Impossible. Il était insupportable, détestable, il m’insupportais tout simplement. Je voyais un de mes supérieurs me rappeler à l'ordre, il fallait que je dise quelque chose.
-Docteur Blackstone, je ne peux pas m'occuper de ce cas...
-Oh si vous le pouvez Rockwell et vous le ferez ! Chaque minutes que l'on perd ici c'est du temps en moins qui reste à ce patient, peu importe votre lien avec cette personne vous devez honorer votre serment ou vous êtes virée du programme, est-ce que je suis bien clair ?
J'inspirais un grand coup et hochais la tête puis nous l'emmenâmes au bloc pour vérifier son crâne et sa plaie, puis le recoudre. Initiative qui fut plutôt bonne dans la mesure où des complications apparurent...

• • •

Dans la mesure où j'avais pour le moins risqué la vie de Webb, on m'avait imposée d'être parmi les chirurgiens et internes présents dans la chambre de ce dernier et de présenter le cas non seulement pour les premières années mais pour le patient lui même. Il était en train de se réveiller, et il était temps pour nous de faire le compte rendu de l'état du patient. Tout le monde se posta autour du lit de Tobias Webb et on me fourra son dossier dans les mains. Je me raclais la gorge et commençais.
-Tobias Webb, 25 ans. A été victime d'une attaque au couteau ayant perforé le thorax et entaillé la orte, ainsi qu'une blessure au niveau du crâne qui n'a heureusement touché aucun nerf important. Un suivi post op est toutefois nécessaire.
-Ce qui signifie que l'on va vous garder en observation quelques jours, voire une semaine, compléta un titulaire. Le docteur Rockwell sera en charge de vous, c'est donc à elle qu'il faudra vous adresser au moindre problème.
Ok, on voulait m'achever ou quoi ? Je pris à part mon chef et dis à voix basse.
-Mais Monsieur, j'avais une intervention importante de prévue aujourd'hui, si il a besoin de moi je ne serais pas forcément présente...
-C'est pour cela que ton intervention a été donnée à Adams. Tu vas t'occuper de ce patient et te comporter en médecin, en attendant si tu n'as rien à faire je te conseille d'aller à la mine recoudre quelques patients et de rappliquer ici au moindre appel de cette chambre. De plus Mr Webb n'est pas un patient comme les autres, et cela nous couterait probablement des milliers de dollars si on apprenait qu'une petite interne mal lunée a laissé mourir un patient, en particulier celui ci, et cela te ferais renvoyer de cet hospital alors dans ton intérêt et dans le notre... veille bien sur cet homme.
Sur ces paroles, il sortit, suivit des autres chirurgiens. Bon sang mais qu'est-ce que j'avais fais pour mériter ça ?


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L. Tobias Webb
L. Tobias Webb

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Moi contre mes ennemis, moi contre mes amis d’une façon ou d’une autre ils semblent tous devenir qu’une seule et même personne. Gagner, prospérer, monter en flèche, être supérieur, être supérieur

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j'ai posté : 230
age : Vingt-cinq ans
métier : Animateur radio mondialement connu & papa à plein temps
envie : Nothing.
célébrité : Adam hot Levine


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MessageSujet: Re: If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ]   If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ] EmptyMer 6 Mar - 21:38

[quote="Louis C. Every"]

⊱ Born to die.




Je planais, j’étais bien, je me sentais libre, loin de tout plongé dans un sommeil si profond que je m’y perdais, au fond c’est peut-être ce que je souhaitais le plus, ne jamais me réveiller. De quoi pouvais-je bien me souvenir ? De tout. De ce sourire qui illuminait mon visage comme chaque jour se transformer en une grimace, mes jambes se dérobant sous le poids de mon corps qui gisait à terre. Des sirènes qui retentissaient à travers Monaco, des cris et de pleurs mais surtout de cette sensation presque agréable qui s’était emparé de moi au fur et à mesure que le temps passait. Mes membres pesaient, mon esprit tentait de s’évader mais malgré tout je m’accrochais, essayant de rester conscient et lucide, sentant que la mort se rapprochait dangereusement. J’avais froid, terriblement froid, j’étais seul, éternellement seul. Est-ce que j’avais peur ? Non, le monde s’était arrêté de tourner, le temps avait stoppé sa course folle et petit à petit je me sentais partir, me laissant aller dans un total oubli de moi-même. Mes yeux se fermèrent doucement alors que le trottoir se vêtit d’un manteau rouge, mon sang, il coulait à flot, probablement la seule chose qui ne s’était pas arrêté à ce moment-là. La douleur s’était estompée pour laisser place à une sensation étrange, je m’étais endormi devant une foule qui pleurait et criait au secours, le brouhaha de la ville ne m’atteignait plus, la panique et la peur de m’affectaient plus, est-ce que j’étais mort ? Je crois bien que oui. Et pourtant un bruit perçant me tiraillait les oreilles, mon corps meurtri était secoué dans tous les sens, j’étais revenu à moi-même l’espace de quelques instants. On me questionnait, je ne bougeais pas, je ne répondais pas, pourquoi ? L’envie n’y était pas. Je me laissais mourir parce que de toute façon, c’était probablement la seule chose que je pouvais faire à cet instant. Des sirènes, des secousses, j’étais dans une ambulance, une chance de survie. Des sauveteurs s’activaient autour de moi, la camionnette ressemblait plus à une fourmilière qu’à un endroit où la vie et la mort sont en combat permanent, incapable de bouger ou de parler, j’avais envie d’hurler, crier de douleur parce qu’ils n’étaient pas foutu de me laisser en paix oui, j’avais mal, affreusement mal mais ils s’en fichaient continuant leur petit boulot. Je fermais les yeux, mais ces idiots me forçaient à les rouvrir, ils m’appelaient par mon prénom comme si ces minables me connaissaient personnellement mais rien n’y faisait, mon esprit s’échappa une nouvelle et probablement dernière fois – du moins je l’espérais – Oui j’étais égoïste, préférant quitter cette planète infâme plutôt que de survivre parce qu’au fond nous ne vivons plus, nous nous battons en permanence pour sauver nos petites miches de la faucheuse et des hommes eux-mêmes. J’étais prêt à tout abandonner, tout plaquer et me laisser finalement sombrer pour de bon mais une chose me retenait sur cette foutue terre, une seule, ma petite Alice, qu’allait-elle devenir sans son paternel ? Non je ne pouvais pas, je ne devais pas lui infliger pareil souffrance. Je luttais contre tout et rien à la fois essayant tant bien que de mal de repousser la mort, faisant probablement plus de boulot que tout le personnel réunit autour de ma petite personne dans un bloc opératoire. Lorsque l’on meurt ou que l’on est plongé dans un coma profond, beaucoup se demandent à quoi l’autre monde ressemble. « L’autre monde » est laid, froid et noir. Une barrière nous séparant de ceux que l’on aime, un cap décisif, mourir ou continuer de se battre pour finalement revenir à l’état de légume. J’étais bloqué attendant simplement ma sentence – puisqu’il faut l’appeler comme ça – Des voix résonnaient autour de moi, des paroles dont le sens devenait de plus en plus clair. Je souffrais mais j’étais bel et bien en vie, est-ce que je devais être triste ou heureux ? Je ne savais pas pour tout dire je m’en fichais simplement. Les médecins quittèrent un à un ma petite chambre. Une seule était resté à mes côtés – par obligation – Je la connaissais oui, son visage m’était familier mais je ne cherchais pas plus loin. J’étais trop occupé, occupé à m’inquiéter, mes premiers mots lui furent dédier. « Où est ma fille ?! » J’étais paniqué, mes blessures m’importaient peu, seul son petit visage d’ange me manquait terriblement, j’essayais de me lever en vain. Une douleur vive parcourra mon corps entier me forçant à me rallonger dans ce lit que je détestais déjà. Un long soupire s’échappa d’entre mes lèvres et mon regard se posa sur le ciel grisâtre et se reposa sur la jeune infirmière. « Je peux pas rester là. » Elle devait me prendre pour un fou, penser que j’allais quitter l’hôpital pour retrouver mon boulot, mes activités et pourtant je ne pensais qu’à une seule chose, rentrer chez moi. « C’est pas mon job qui me force à partir, j’ai beau être connu je m’en fiche pas mal, ce que je veux le plus, c’est retrouver ma petite fille et la prendre dans mes bras. » Pourquoi est-ce que je lui disais tout ça ? Je n’étais pas moi-même non, je devais arrêter de parler, stopper ces paroles qui s’échappaient d’entre mes lèvres, la morphine devait me faire cet effet, je n’étais pas du genre sentimental et pourtant la situation semblait démontrer le contraire. Je me relevais doucement, grimaçant de douleur mais bien décidé à quitter cet endroit pour retrouver mon foyer et enfin être serein. Mais je le savais, je ne pouvais pas, du moins par pour le moment. « Je sais qu’on a l’habitude de me voir rigoler ou peut-être même critiquer, jouer le gros salaud mais pour tout dire, j’suis pas comme ça, si je pouvais balancer mon boulot et cette célébrité pour m’occuper de ma famille, je le ferais sans hésiter. » Un petit soupire ponctua ma phrase. Et mon regard se posa sur la jeune fille. « J’en ai trop dit. » Montrer mes sentiments, ma vraie personnalité, tout ça ce n’était pas moi, j’avais l’impression d’être un autre homme et pourtant tout ceci venait bien de ma petite personne. Ne supportant plus la douleur, je me laisser tomber en arrière et regardait le ciel voilé. Ces moments où il y a impact, ces instants de grandes intensités qui chamboulent complètement nos vies finissent au bout du compte par nous définir.
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Quinn-Elisa A. Rockwell
Quinn-Elisa A. Rockwell
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À la Fac de médecine, on a plus d’une centaine d’heures sur comment lutter contre la mort. Mais pas une seule sur comment vivre avec...
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MessageSujet: Re: If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ]   If you die, I will kill you ! [ PV Tobias W. ] EmptyJeu 7 Mar - 6:55


Toblias Ҩ Quinn-Elisa




Ҩ « Je ne permettrai pas que des éléments concernant l'âge, la maladie, le handicap, la religion, l'origine ethnique, le sexe, la race, les opinions politiques, la nationalité, l'orientation sexuelle, le statut social ou tout autre facteur intervienne entre mon devoir et mon patient. »


J'allais partir de la chambre et prévenir les infirmière de garder un oeil sur lui, et surtout de me prévenir au moindre le problème, mais ce n'était pas la peine, les problèmes commençaient déjà. Et oui... Webb était réveillé, et légèrement en panique.
-Où est ma fille ?!
Je me retournais, m'apprêtant à lui répondre, mais je vis qu'il commençais à vouloir se relever. Non non non, ce n'était pas cela qu'il devait faire !!! Je me précipitais vers lui, le repoussant doucement contre le lit.
-Monsieur ne bougez pas, vous allez vous faire mal et casser vos points de suture, restez allongé s'il vous plait.
-Je peux pas rester là.
Je soupirais. Il devait rester là, sinon à quoi cela aurait-il servit qu'on s'acharne à le garder en vie ? De toute manière, malgré la morphine, il avait encore fort mal, il ne pourrait donc pas se lever, mais par contre, il pourrait sans aucun doute se faire plus de mal encore et nous donner un boulot supplémentaire et inutile.
-C’est pas mon job qui me force à partir, j’ai beau être connu je m’en fiche pas mal, ce que je veux le plus, c’est retrouver ma petite fille et la prendre dans mes bras.
-Monsieur, je l'ai compris croyez moi. Vous n'avez pas besoin de vous justifier. Mais si vous ne restez pas allonger dans ce lit sans faire trop d'effort, vous risquez de rendre votre fille orpheline, c'est vraiment ce que vous voulez ? Alors restez allongé, je vais demander à une infirmière de faire le nécessaire pour la contacter et on s'arrangera pour la faire venir si c'est ce que vous voulez.
A mon avis, ce n'était pas une bonne idée. Pour cette petite, voir son père dans cet état était effrayant. Elle risquait de se faire des films et de pleurer pour rien du tout au final. Oh sans oublier que sa présence inciterait son père à faire l'exact contraire de ce que je venais de lui dire, comment croyez vous que va réagir cette petite en voyant une énorme tâche rouge se former au niveau de son thorax et qu'il se mettra à convulser ?
-Je sais qu’on a l’habitude de me voir rigoler ou peut-être même critiquer, jouer le gros salaud mais pour tout dire, j’suis pas comme ça, si je pouvais balancer mon boulot et cette célébrité pour m’occuper de ma famille, je le ferais sans hésiter.
Je n'avais jamais aimer cet homme. Jamais. D'aussi loin que je m'en souvienne, il m'avait toujours sembler être un sale type, le genre qu'il vaut mieux ne pas fréquenter. En fait, la description qu'il venait de faire était globalement ce que je pensais de lui. Mais là je l'avoue, il remontait dans mon estime, et j'en venais même à être un peu triste pour lui.
-J’en ai trop dit.
Je souris légèrement, non il n'en n'avait pas vraiment trop dis. Juste ce qu'il fallait.
-Ne vous inquiétez pas de cela et reposez vous. S'il vous plaît. Il faut que vous soyez en forme pour voir votre petite fille.
Pour la première fois, je lui souris. Un sourire qui n'avait rien d'ironique, rien de méchant. Pour une fois, j'étais sympathique à son égard. Et croyez moi, cela n'arrive pas si souvent ! Mais je crois que la morphine lui avait faire dire la vérité, bien qu'il juge en avoir vraiment bien trop dit.


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