Il était une fois l'histoire de Charline April Keller. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis 25 ans ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le 16 Février à Rio de Janeiro. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec CandiceawesomeAccola . On entend souvent dire que c'est une personne : Souriante, volontaire, entêtée, rancunière, présente, attentive, loyale, appliquée, perfectionniste mais parfois un peu trop impulsive et possessive. De plus, son coeur est libre, on pense même que Charlie est Célibataire. Charline est actuellement Assistante vétérinaire & actrice dans une série à succès. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : The present.


Elle se ronge les ongles quasiment jusqu'au sang lorsqu'elle est nerveuse et/ou anxieuse, c'est la raison pour laquelle elle en met des faux ★ Elle n'est pas réellement accro à la cigarette mais apprécie d'en avoir deux par jour, même si elle les fume de façon à ne pas incommoder sa fille avec la fumée ★ Sa fille est la personne la plus importante du monde à ses yeux, elle pourrait aller lui décrocher la lune s'il le fallait et c'est extrêmement rare qu'elle arrive à lui refuser quelque chose, même lorsque ce qu'elle demande est insensé ★ La matière qu'elle déteste le plus à l'école étaient les mathématiques et elle se demande d'ailleurs comment elle fera pour aider sa fille à faire ses devoirs dans cette matière-là lorsqu'elle sera plus grande ★ Elle ne cherche pas particulièrement à retrouver l'amour, se contentant de penser qu'il lui tombera dessus lorsqu'elle s'y attendra le moins et que de toute façon, ce n'est pas indispensable pour vivre tout en étant heureuse ★ A la maison, elle possède un vieux chat âgé de dix ans nommé Nutella ainsi qu'un chiot Border Collie bleu merle âgé de trois mois répondant au nom de Chanel ★ Son métier la passionne vraiment et elle a décidé qu'elle le ferait depuis l'âge de treize ans et n'est d'ailleurs pas peu fière d'y être parvenue ★ Sa pire hantise est de perdre sa fille d'une façon ou d'une autre ★ Elle aurait aimé avoir une soeur ou un frère avec qui partager ses secrets et vivre une relation proche voire même fusionnelle et pourtant, elle a dû se contenter de sa vie de fille unique et en a d'ailleurs pas mal souffert ★ Il lui arrive fréquemment de chanter à ses heures perdues, étant donné qu'elle est dotée d'une jolie voix. Pourtant, elle n'a jamais envisagé une vocation de chanteuse, préférant nettement jouer la comédie.

« - Non, je le garde. » « Tu n'as que dix-neuf ans, tu n'es même pas encore certaine de garder ton emploi et tu décides de garder un enfant alors que tu n'es même plus avec le père de celui-ci? Est-tu complètement insensée ?! » Je secouais la tête, obstinée dans ma décision. Il était hors de question que j'ôte la vie à cet enfant qui n'avait absolument pas demandé d'être là et étant déjà enceinte de quatre mois alors que je venais de le découvrir hier, il était tout bonnement impensable pour moi de songer une seule seconde à me faire quitte de lui alors que j'avais l'impression qu'il faisait partie de moi depuis toujours. Si je devais me battre et/ou me liguer et ne plus fréquenter ma famille pour y parvenir, ça m'importait très peu. Ma mère me regarda, se pinçant l'arête du nez, signe qu'elle était réellement agacée et je me contentais de la fixer d'un air déterminé, la défiant du regard de dire quelque chose à ma position. Elle hésita un long moment avant de finalement relever son regard émeraude dans le mien, pinçant les lèvres. « Très bien. Gardes ce môme si ça te chante, mais ne vient pas pleurer dans mes bras si ça ne va pas. Tu peux me croire, tu as vraiment de la chance d'être la principale rentrée d'argent dans cette maison car j'aurai très bien pu te taper dehors suite à cela. » J'ouvrais la bouche, en état de choc, la regardant d'un air totalement hébété. Ma propre mère, celle qui m'avait toujours considérée comme la petite princesse de la maison, qui m'avait toujours favorisée face à ma petite soeur, m'aurait mise à la porte si je n'avais pas été pleine aux as grâce à l'argent que j'avais acquit en jouant, depuis ma plus tendre enfance, dans pas mal de séries ? « - Bien. Si c'est comme ça, même pas la peine de regretter de ne pas pouvoir me virer de cette baraque, je m'en vais de moi-même. » déclarais-je en serrant les dents, attrapant ma veste qui était à proximité avant de reprendre la parole, voyant qu'elle était prête à se justifier et à s'excuser en paroles. « - Pour l'argent, tu te débrouilles. C'est en travaillant de moi-même que je l'ai gagnée, cette fortune. Toi, mise à part me pourrir la vie en voulant m'apprendre le piano, le violon et tout ça afin de frimer afin de tes catins d'amies en disant que ta fille sait tout faire, t'as jamais fait grand chose de ta vie. L'argent, ça se trouve pas aux pieds des arbres, ça se gagne. Aussi, si t'en veux, t'as qu'à bouger ta graisse, au moins ça te changera de d'habitude. » déclarais-je d'un trait, ne pouvant m'empêcher de penser l'espace d'un instant que je n'avais jamais été aussi agressive, rebelle et vulgaire envers ma propre mère. Pourtant, mon état de rage était tel que ça en était devenu incontrôlable et, ne lui laissant pas le temps de répliquer ou de faire quoi que ce soit, je quittais la maison familiale en claquant la porte, après lui avoir malgré tout précisé que je viendrais rechercher mes affaires le lendemain matin.

« - Princesse, viens enfiler ta veste, tu vas être en retard. » déclarais-je en soupirant, tenant la veste de mon unique fille dans ma main gauche. Celle-ci était encore cloîtrée dans sa chambre, sans doute entrain de terminer ses devoirs à la va-vite, devoirs qu'elle n'avait pas eu envie de faire hier soir. Alors qu'elle était seulement âgée de six ans désormais, je me demande vraiment comment est-ce qu'elle va évoluer si elle est déjà comme ça à cet âge là. Bon, faut dire que je n'étais pas vraiment mieux petite, mais j'avais sans doute commencé à être flemmarde et désintéressée de tout plutôt vers l'âge de dix-onze ans, pas plus tôt. « - J'arrive, maman. On pourra aller voir les animals plus tard ? » me demanda-t-elle tout en arrivant enfin vers moi, le cartable au dos tandis que ses yeux brillaient d'espoir. Je roulais un peu des yeux, un sourire amusé aux lèvres. « - Animaux, ma puce. » rectifiais-je, trouvant malgré tout adorable la façon dont elle écorchait les mots. Faut aussi avouer que tout ce qui venait de Lilou était quelque chose d'adorable à mes yeux, enfin sauf les couches que j'avais du changer durant ses premiers mois, bien entendu. Elle fit la moue et fronça légèrement les sourcils, croisant les bras tandis qu'un air boudeur s'affichait sur son visage, me faisant soupirer. J'étais désormais bonne pour me rendre à l'animalerie une fois que les cours de la petite seront finis, je le savais d'ores et déjà.

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