Il était une fois l'histoire de Meredith Oksana Kepingski. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis 24 ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le 22 mars 1989 à Riga, en Lettonie. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Ksenia awesome Solo. On entend souvent dire que c'est une personne : grande gueule, rancunière, discrète, curieuse, rusée, agile . De plus, son coeur est libre, on pense même que Oksa est célibataire. Oksana est actuellement policière sous une couverture d'étudiante en littérature. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : The past.


Sait se servir d'une arme depuis qu'elle est enfant, simple précaution qui est devenue une passion pour elle ★ a assisté au meutre de ses parents alors qu'elle n'avait que neuf ans et en est toujours traumatisée ★ ne sait pas nager mais déteste ce fait, peu de gens le savent ★ elle ne met pas de lentille de couleur pour avoir ses yeux d'un bleu pâle, c'est naturel ★ part au quart de tour pour peu de choses mais reste TRÈS professionnelle quand elle bosse ★ ne tient pas l'alcool, malheureusement ★ est passée maître dans l'art du déguisement ★ déteste entre des bébés/gamins pleurer, ne supporte pas ça ★ se drogue au café et à la clope ★ préfère largement lire tranquillement chez qu'aller en boîte de nuit, ne se sent pas à l'aise là-bas ★ possède une culture générale et une mémoire visuelle incroyables ★ a pratiqué la danse, la boxe et le taekwondo ★ possède une cicatrice à la hanche gauche et un tatouage sur le poignet droit, un ouroboros ★ possède une moto qu'elle s'est offert tout récemment ★ est originaire d'une noble famille lettone et vit grâce à l'héritage de ses parents mais n'aime pas en parler, reste discrète sur ce fait ★ possède un grand frère qu'elle ne connaît pas, fruit de l'infidélité de sa mère avec son secrétaire.



22 mars 1989 « Monsieur, venez vite ! Madame vient d'accoucher d'une petite fille. » Ermavis Kepingski envoya valser sa longue veste noire avant de monter les escaliers le plus longtemps possible. Krista ne devait accoucher qu'une semaine après la date du jour, ce qui pouvait être un problème. Mais son coeur n'avait qu'une hâte : pouvoir contempler le visage de son enfant. Il n'avait attendu que cela, pendant neuf longs mois aux côtés de son épouse. On voyait le vrai visage de l'homme d'affaires letton, qui restait sérieux tout au long de la journée derrière son bureau. Rien ne prouvait qu'il fasse d'obscures transactions mais c'était pourtant le cas. Dans le coffre fort de son bureau, dans le dernier étage de l'immense tour de sa compagnie, il gardait de l'argent sale, blanchi. Qui ne demandait qu'à être trouvé par la police. Mais malgré ça, il aimait profondément sa femme ainsi que sa future héritière. Elle avait beau être de sexe féminin, elle serait éduquée de la même manière. Lorsqu'il ouvrit la porte pour admirer son unique enfant, il fut émerveillé de sa ressemble avec la mère. Elles avaient ce même bleu propre aux femmes de la famille Krasts : un bleu tellement clair qu'on a l'impression parfait qu'il n'est pas présent, ce qui rend le regard de la personne étrange, parfois insoutenable. Des prunelles aux reflets blancs, hypnotiques, insaisissables. On voyait une touffe de cheveux minuscules de couleur sombre, qui devraient noir avec le temps. Raides et lisses comme de la soie, qui seraient une beauté accouplée à la peau blanche des gens de l'Est. Tendrement installée dans les bras de celle qui venait de souffrir pour la mettre au monde, Meredith Oksana Kepingski ne savait même pas encore que sa vie allait être un drame.

25 mai 2004, point de vue Oksana « Où est-elle, putain !? Dîtes le moi ou je vous bute chacun votre tour. Je suis certain qu'elle regarde, pas loin. » Effectivement, il avait raison ce bâtard de psychopathe. J'étais cachée dans une trappe au mur, utilisée par mes ancêtres pour espionner les invités quand ils devaient s'absenter. Histoire que personne ne vole l'argenterie précieuse. Deux trous invisibles de l'extérieur me permettaient de voir ce qui se passait, les yeux horrifiés et le coeur battant à tout rompre. Ma mère m'avait presque jeté dans cet endroit, le regard sombre. Difficile avec des yeux clairs, mais terrifiant. J'avais toujours été obéissante, je sentais qu'il allait se passer quelque chose d'horrible. Ce que je n'avais pas prévu, c'était le cri d'agonie de ma mère avant que le sang ne gicle sur les murs. Le regard fou du jeune homme, parce que oui s'en était un, parcourait la moindre pièce pour me trouver. Ma respiration presque étranglée dans ma gorge, j'oobservai le moindre de ses mouvements, traumatisée à l'idée qu'il me déloge de ma cachette. Il joua quelques secondes avec son révolver que je savais bien chargé, avant de sourire. « Tu sais que tu ne m'échapperas pas ? Je suis le prochain bénéficiaire de la fortune Kepingski si jamais je te retrouve et que je te tue. Si ce n'est pas aujourd'hui, ça sera demain, ou les jours d'après. Je te pourchasserai jusqu'à ce que tu ne sois plus. Je veux te voir crever dans mes bras pendant que je rirais de ma nouvelle notoriété. » Et il tira, la balle siffla et je fermai les yeux. Une minuscule douleur, comme une épine dans le pied, naquit au niveau de ma hanche et je relevai la tête. Il avait disparu et moi je saignais. Le tir avait erraflé ma peau, laissant certainement une cicatrice à venir. J'avais simplement quinze et mes parents venaient de se faire assassiner sous mes yeux.

« Je suis désolé gamine mais on accepte pas les étudiantes dans la police, la crèche c'est dans la prochaine rue à droite. » J'ai toujours dis que les mecs étaient tous des machos imbus d'eux-même. Mais je suis généreuse alors je vais lui montrer qu'il n'a pas complètement raison. « Vous pensez que je suis pas capable d'entrer dans police pour les raisons suivantes : je suis jeune et je suis une femme. C'est bien ça ? » Il me regardait du haut de son mètre quatre-vingt, un petit sourire narquois sur le visage. Il semblait tellement certain de sa réponse. Il se montra d'un geste de la main, le regard déterminé. « Tu serais même pas capable de me mettre à terre. » Tellement simple à asticoter, ce genre de mec. « Vraiment ? mais bon, maintenant c'est trop tard pour reculer, blanc-bec. » Il n'avait pas encore pu déglutir avant de répondre que j'avais glissé entre ses jambes écartées pour me retrouver derrière lui, tordre son bras dans son dos et balayer ses jambes d'un bon coup dans la cheville. Il était au sol, le nez contre le carrelage de la sale d'attente, impuissante. Ma main dans son dos, un flingue pointé à l'arrière de sa tête. « Vous revenez sur votre décision ou pas ? Je connais des prises qui vous ferai pleurer comme une petite fille, sale flic sexiste. » Je l'entendis jurer entre ses dents qui rafflaient le sol, avant qu'il ne se consente à parler. « Vous savez que vous pouvez aller en cellule pour attaque envers un représentant de la force civile ? » Souriant d'un air assuré, je hochai la tête, sachant pertinemment que personne ne pouvait le voir. À part la dizaine de collègues au monsieur qui riaient à travers la vitre. Le pauvre. « Je suis pleinement consciente de mes actes et j'aimerais bien rentrer dans la police donc si vous pouvez faire rapidement, je vous montrerai que je suis capable de tenir le poste haut la main. » Quelques jours après, j'avais mon insigne mais j'avais insisté pour garder mon arme comme celle de fonction. Personne ne me séparait de mon Browning.

Depuis, la vie est plutôt cool. J'arrête des méchants et je lis au coin du feu. J'suis pas comme les filles de mon âge, je l'ai jamais été.

Le petit mot du staff : J'ai adoré ton histoire du début à la fin ! Ta plume est juste super et ton écriture très fluide ! En un mot j'ai adoré J'ai hâte de pouvoir rpotter avec toi !

Maintenant que tu peux jouer : Dès maintenant, tu vas pouvoir foncer pour faire tes scénarios, mais aussi une belle fiche pour tes liens, tu ne resteras pas dans ton coin bien longtemps grâce à cela. Mais, il ne faudra pas hésiter à faire tes demandes de logement et de métier. Tu vas aussi certainement avoir envie de faire de la pub pour le forum, nous te conseillons alors d'aller sur les tops sites c'est très sympa pour la popularité, mais aussi le topic de Bazzart et Pub rpg design.