Il était une fois l'histoire de Tobias Mathéo Cresta. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis vingt-quatre ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le neuf février 1989 à Canne. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Julian Morris. On entend souvent dire que c'est une personne : loyal, rancunier, courageux, bagarreur, discret, observateur. De plus, son coeur est libre, on pense même que Tob est célibataire. Tobias est actuellement un ancien soldat, ne fait plus que percevoir une pension d'invalidité depuis qu'il a été blessé et réformé. . D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : present.


N'a pas revu sa mère depuis ses cinq ans. Depuis il lui en veut de l'avoir laissé seul avec son père qui n'arrêtait pas de boire. D'ailleurs il se faisait battre par ce dernier jusqu'au jour où, à seize ans, il décida de partir loin de lui. ★ Il était assez bon à l'école, mais il préféra s'engager dans l'armée plutôt que vivre derrière un bureau. ★ En 2005, il s'est prit un balle dans l'épaule gauche, quelques heures après avoir apprit la mort de son père. Il est rester à l'hôpital de l'armée durant deux mois avant d'être réformé par rapport à sa blessure. Depuis il garde quelque séquelle, notamment le faite de ne pas pouvoir porter quelque chose de lourde de la main gauche. Par moment son épaule le lance, et je peux vous dire, ça fait mal. Heureusement il est droitier. ★ Il n'a pas tellement de mal à aller voir les gens et se faire de nouveau ami, pourtant il passe ses journées sur le canapé. Lorsqu'il essaye de sortir, il ne sait pas où aller. ★ Il a un tatouage à l'épaule droite en forme de trident. Deux autres soldats avaient le même. Cela représentait leur amitié. Il a aussi une tache de naissance dans le bas du dos. Peu de personne ne connaisse sont existence. ★ Il n'avait plus de famille jusqu'à il y a un mois où il a découvert qu'il avait un demi-frère. ★ Il déteste l'alcool à cause de son père, et n'a jamais fumé. Par contre il adore les balles anti-stress. ★ Il lui arrive de manger ses yaourts avec une fourchette. Il n'aime pas manger chinois, mais adore les pâtes. ★ Il se pose la question s'il ne devrait pas chercher un nouveau job car la pension d'invalidité ne peut pas tout payer.


Cannes, juillet 2005.
Tobias descend de là ! Assis au bord du toit, je regardais les étoiles qui luisaient dans le ciel. L’homme qui n’arrêtait pas de crier pour que je descende n’étais autre que mon connard de père, ivre encore une fois. Depuis que ma mère l’a quitté, lorsque j’avais cinq ans, il n’arrête pas de boire. Au départ ça allait, ce n’était que le week-end, mais maintenant c’est tout les soirs. C’est d’ailleurs pour cela qu’il passe souvent dans les journaux. SCANDALE : Laurent Cresta, l’ancien ministre passe son temps dans les bars de Cannes. Malheureusement pour moi, ce n’est pas le genre de mec qui, bourré, est super marrant. Au contraire, c’est le diable incarné. Chaque soir, j’étais obligé de m’enfermer à clé dans ma chambre pour éviter de recevoir ces coups. Au lycée je devais trouver des excuses pour mes bleus, mes yeux au beurre noir, etc. Par moments j’en veux à ma mère de m’avoir laissé seul avec ce timbré. Mais d’une certaine manière, je la comprends. Elle a voulu sauver sa peau avant qu’il ne soit trop tard. Il faudrait peut-être que je fasse de même. Que je me sauve de là, et vite. Ok c’est décidé, demain je pars d’ici !

Au combat, novembre 2012.
Cresta. Ouais mec, qu'est-ce qu'il y a ? Je m'avançais vers le soldat Brian qui venait de m’appeler. Vu sa tête, ça devait être une mauvaise nouvelle. La France vient d’appeler... Ton père est mort. Je ne sais pas pourquoi, mais cette annonce me fit un choc. J'étais immobile, la bouche entre ouverte. Pourquoi sentais-je des larmes monter ? Je détestais cet homme. Je devrais me réjouir de sa mort, pas en pleurer. Un voile commença à me brouiller la vue, je ne devais pas pleurer pas ici, pas en guerre. Je ravalais ma salive avant de partir d’un air désintéressé. Deux sentiments se bousculaient en moi. Premièrement la colère, puis la tristesse. Malgré la haine que j’avais envers lui, il restait mon père. Une heure après la nouvelle, nous nous sommes fait attaquer. Tout se passait si vite. J’avais les idées ailleurs, imaginant mon père en train de se faire enterrer. Les médias en train de le critiquer. C’est à cause de ça que j’ai reçu une balle dans l’épaule.

Monaco, Janvier 2013
Soldat Cresta, vous rentrez en France, dès demain. Non, je veux rester. Ce n’est pas cette fichue blessure qui va m’empêcher de faire mon devoir. C’est un ordre soldat. Ces paroles résonnaient dans ma tête. J’ai laissé mes frères d’armes au combat pour une simple blessure par balle à l’épaule gauche. Allongé sur le canapé de mon nouvel appartement, je me sentais terriblement seul. Les émissions TV s’enchainaient sans que j’y fasse attention. Dès que je fermais les yeux, le sifflement des balles me revenait en tête. Je n’arrivais pas à oublier ces mois passer là-bas. Les jours se suivaient, se ressemblaient. J'avais l'impression d'être une personne âgée à la retraite. Et un jour, un homme a frappé à ma porte. Il devait tout juste être majeur vu son visage. Lorsqu'il me vit son visage montrait un mélange entre de la joie et de la peur. Monsieur Cresta ? Je n'avais pas l'habitude qu'on m'appelle Monsieur. J'acquiesçai d'un signe de tête avant qu'il ne continu. Il devait être angoissé car il n'arrêtait pas de frotter ses mains contre son jean. Je sais que cela paraît dingue, mais je suis ton frère. Enfin demi-frère. Je levais les yeux au ciel et répondis d'un ton ironique. Bien sûr, et moi je suis le petit-fils de la reine d'Angleterre. Je m’apprêtais à fermer la porte lorsqu'il continua, un point énervé. Je suis le fils de Catherine Dubois, anciennement Cresta. Ça ne veut rien dire gamin. Dire le nom de ma mère, c'est assez simple, il ne suffit que quelque clique sur la toile pour trouver ces informations. C'est pour cela que je ne prenais pas les paroles du jeune homme au sérieux. Ma mère m'a appris ton existence il y a quelques années. Depuis je n'arrête pas de faire des recherches sur toi. J'ai appris que tu revenais du combat donc je suis venue. Je savais que tu n'allais pas me croire, et elle aussi d'ailleurs, c'est pourquoi elle m'a raconté un petit secret. Il paraît que tu as une tache de naissance dans le bas du dos. Ok, ça sait pas sur internet. Comment le sait-il ? Il a posé la question à mes ex ou il dit la vérité. me demandais-je intérieurement. Je le dévisageais durant une bonne minute. Il faisait à peu près ma taille. On avait les mêmes yeux, quelque trait du visage en commun. T'as quel âge ? Dix-huit ans, dix-neuf au mois de juin. Je faisais les calcule dans ma tête. Ma mère est parti lorsque j'avais cinq ans, il y a dix-neuf ans donc. Si cet homme était vraiment mon frère, cela voudrait dire qu'il serait né cette année-là. Ce qui expliquerait pourquoi ma mère s'est enfuie sans raison, elle menait une double vie. J'ouvris la porte pour le laisser entrer. Au point où j'étais, un événement comme celui-là était cent fois plus intéressant que les séries TV qui passaient sur le câble.

Le petit mot du staff : J'adore ton histoire et la façon dont tu l'as écrite Et puis l'histoire du frère

Maintenant que tu peux jouer : Dès maintenant, tu vas pouvoir foncer pour faire tes scénarios, mais aussi une belle fiche pour tes liens, tu ne resteras pas dans ton coin bien longtemps grâce à cela. Mais, il ne faudra pas hésiter à faire tes demandes de

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