Il était une fois l'histoire de Théodore. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis 26 ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le 15 mars 1983 à Paris. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Ian Somerhalder. On entend souvent dire que c'est une personne : Dragueuse, impulsive, travailleuse, déterminée, intelligente, organisée, naturelle, extravertie, brillante, dynamique, casse-cou, voyageuse. De plus, son coeur est libre, on pense même que Théo est célibataire. Théo est actuellement acteur. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : The present.


Il déteste son prénom. D'ailleurs, seulement sa famille et ses proches savent qu'il s'appelle Théodore en réalité. Il se présentera toujours sous Théo. ★ Le mot "mariage" ? le brun ne connait pas la définition ★ Théo fume seulement en soirée et quelques cigarettes la journée quand il est stressé ★ Le jeune homme peut vous réciter les vols Paris/New York tellement il fait des allés/retours entre les deux pays ★ Son métier est la preuve de sa réussite malgré le fait que certain ont pu critiquer ses choix d'avenir ★ Théo avouera difficilement ses sentiments, il préfère se renfermer ★ Une demoiselle ne devrait jamais espérer avoir un lendemain avec lui ★ Théo ne peut pas dormir s'il n'a pas eu son verre de Jack dans la soirée ★ S'il est à Monaco, cela veut plutôt dire qu'il est en vacances ★ Il sait parler anglais couramment et vient de se mettre au russe depuis quelques mois ★ Ne souhaite que le pardon de son frère ★






Paris.. Une ville si riche à travers son histoire et sa culture. Je pourrais très bien passer des heures entières à Orsay ou encore au Louvre. Cette chance de n'être entouré que par des âmes méconnues d'artistes ou encore de grands hommes ayant laissés leurs empreintes dans les rues ou dans des archives incontestables. Ce dynamisme et ce partage me plaisaient à chaque promenade. Mon savoir ne demeurait pas la première chose que les personnes remarquaient. Je ne le montrais pas tellement d'un côté car en quoi était-il important de discuter d'un sujet si l’interlocuteur n'en valait pas la peine ? L’Art et l'Histoire se méritaient dans une conversation et non pas seulement entre deux anecdotes de la journée. Ma plus grande claque fut au collège où mon professeur de français (une sorcière celle là, je peux le parier) avait emmené ma classe de troisième assister à une pièce de la comédie française. Seul élève qui avait apprécié le coût de la place pour trois heures assis dans un siège. La révélation arriva sans que je puisse la contrôler, l'envie de jouer des personnages. Pouvoir vivre d'autres vies pour quelques instants. Sensation bien étrange de vouloir se mettre dans la peau d'une autre personne. On dirait en plus que je le faisais bien suite à mon inscription secrète à l'âge de quinze ans dans une troupe de théâtre. Le professeur trouvait cela formidable que je puisse mémoriser aussi facilement des textes de Molière ou de Beaumarchais et il n'hésitait pas à me répéter de persévérer. Les mots sortaient sans difficulté de ma bouche et, quel sentiment de liberté ! Mes amis ne savaient pas ce que je trafiquais après les cours. Certes, ils trouvaient cela étrange de ne plus me voir jouer au football avec eux dans les rues tous les soirs. Cependant, je faisais quand même l'effort de sortir tous les week end pour profiter des soirées et donc, de ma jeunesse. Caractère sociable, les gens venaient à moi très facilement et ce n'était pas pour m'en déplaire.




Mes parents ne me croyaient pas capable de faire quelque chose de ma vie à travers la comédie. Ils trouvaient cela dommage que tout ce potentiel passe dans une existence promettant un quotidien incertain vis à vis de l'argent. Pour leur faire plaisir, j'avais quand même passé mon bac à l'âge de dix-sept ans (on m'avait proposé de sauter une classe en primaire et sans hésitation j'avais accepté) mais, il était hors de question pour la suite de continuer des études supérieures dans un amphithéâtre pour écouter des personnes se croyant meilleurs que les autres grâce à une thèse réussie. J'étais tout simplement heureux. Je réussissais à voir quelques petits rôles dans des pièces de théâtre classique (même si la fortune ne se trouvait pas derrière la porte) et mes soirées de libre se passaient auprès de mes amis à droite et à gauche dans Paris. D'ailleurs, une soirée bien trop arrosée n'aurait jamais dû se produire. La copine de mon frère.. Bordel mais quelle idée ! Toutes les femmes mais pas elle. Jouer avec le feu n'a pu qu'engendrer des conséquences trop importantes. Je changeais de filles comme de chemise mais pas Luk' comme en plus tout allait pour lui avec Seven.. Tout à fait normal qu'il ne souhaite plus me parler. Ce réveil fut trop brutal en apprenant que la demoiselle près de moi s'annonçait être Seven et en plus, Luk' débouler pour me remettre les idées en place.. Pire lendemain de soirée arrosée de ma vie.




Le petit frère qui refusait de m'adresser la parole et les parents qui ne comprenaient pas mon geste, je me retrouvais seul dans cette galère. Un ami proche m'ordonna alors de me changer les idées comme depuis plusieurs jours, je ne sortais plus et me centrais seulement sur mes représentations. New York. Faire la fête dans cette ville extravagante pendant un week end. De toute façon, il m'aurait traîné dans l'avion alors autant se jeter à l'eau. C'est grâce à ce voyage que mon moral reprit un meilleur chemin. Je ne remercierai jamais assez cet ami qui a réussi à me faire revivre de cet épouvantable épisode. En plus, quand mon agent apprit que je restais aux États-Unis quelques jours, il me proposa d'aller faire un casting pour le cinéma cette fois-ci. Je rêvais de débuter dans ce domaine et ce fut le commencement d'une nouvelle vie en décrochant un rôle. Je n'oubliais pas mes origines en continuant à faire des petits rôles en France. Heureusement pour moi que je n'ai pas la phobie de l'avion car, à présent je le prends souvent suite aux différents tournages de films. Je garde peu de contacts avec mes parents car ils ne digèrent pas encore l'épisode Seven. Ils préfèrent parler de ça que de recevoir des nouvelles de leur fils. Qu'ils me voient qu'à travers un écran ces clampins ! Après deux années de folie, je me dois de me poser là où le temps n'est pas H24 de la pluie comme à Paris, Monaco semble un coin sympathique et les soirées en tout genre existent toute la semaine... Let's go to the party baby !